Homosexualité et suicide

Publication : mardi 2 octobre 2012 13:33

Mariage homosexuel, homoparentalité et suicide

Extrait d’un argumentaire établi par une association familiale.

La filiation homosexuelle, que ce soit par le mariage, l’adoption et/ou l’accès aux procréations médicalement assistées, priverait l'enfant de trois biens importants pour lui:

Discriminations homophobes : le piège se referme

Comme le rappelle avec force Philippe de Kergorlay, « La lutte contre les discriminations ne passe pas par l'impudeur : plus d'une personne homosexuelle se sent choquée par l'exhibitionnisme de ces actions militantes. La lutte contre les discriminations ne passe pas par la morgue et l'arrogance des slogans et des images. La lutte contre les discriminations ne passe pas par le mépris des conventions sociales, des enfants, des familles, des personnes fragiles, dont on se plaît à heurter la sensibilité et l'affectivité. La lutte contre les discriminations ne passe pas par l'intimidation, les pressions, la violence physique et verbale (voir ce qui s'est passé en juin dernier à Notre-Dame de Paris) et la dérision (voir les Gay Pride) envers l'adversaire. La lutte contre les discriminations commence par le respect. »

Les non-dits du dogmatisme homosexuel

Mais il y a sans doute plus grave : les leaders du mouvement homosexuel semblent allergiques à toute critique, à toute remise en question : l'homophobie, voilà l'ennemi, le bouc émissaire qui explique tout problème. Tout se passe comme si l'homosexualité devait être "normale", "reconnue", admise par tous sans discussion. On peut critiquer le mariage traditionnel, pas l'homosexualité... au-dessus de tout soupçon.
Or rien n'est moins sûr. Et il serait temps que les partisans de l'homosexualité acceptent d'entendre les critiques et de se remettre en question, comme tout le monde. Il faut pouvoir dire que l'homosexualité est un comportement à risque, et pose de sérieux problèmes.

Il y a urgence à endiguer l’expansion de la souffrance homosexuelle

Pourquoi le taux de suicides est-il si élevé chez les personnes homosexuelles ? Il ne s'agit pas seulement de 10, 20 ou 50 % en plus, mais 6 à 14 fois de plus que la moyenne (600 % à 1400 % en plus) ! Mettre cela sur le compte de la seule "homophobie" relève de la plaisanterie: les handicapés, les sans-papiers, les sortants de prison sont également sujets à de sévères discriminations, sans se suicider plus que les autres. Et pourtant ils ne disposent pas des relais médiatiques et financiers qui soutiennent les "communautés homosexuelles".

Il est d'ailleurs hautement contestable que les personnes homosexuelles se plaignent d'abord de l'homophobie. Beaucoup, qui ne se retrouvent pas du tout dans la fuite en avant de la mouvance militante - et ce qu’elle signifie - avouent un mal-être intérieur...et semblent très peu enclins à tirer de l’orgueil de la situation qu’ils vivent parfois en écho à des blessures anciennes et/ou à une maturation qui ne s’est pas faite.

Lettre N° 46 - Septembre 2006